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le blog de moi
20 avril 2008

mes anciennes motos

moteur0

un petit histoire des motos qui sont passées entre mes mains

casque0

ma petite premiere une Dealim VS 125:

125_vs

Une liste d'équipements pareil sur une 125 à vocation utilitaire, ça reste rare et attractif. Pour un tarif serré, la VS est équipée des béquilles latérale et centrale, d'une jauge de carburant, un compte-tours et un trip journalier. La VS se défend en performances grâce à son mono 4 temps d'origine Honda : il permet à la Daelim d'atteindre 110 km/h. Les reprises sont moins convaincantes, tout comme la direction qui manque de légèreté, grevant la maniabilité. Mais pour qui veut rouler tous les jours pour un budget très raisonnable, la VS est plus que convaincante.

apres  j'ai passé le permis gros cube une honda seven fifty 750:

750_cb

MOTORISATION PARTIE-CYCLE
- Moteur : 4 cylindres en ligne, 4 T,
refroidi par air, double ACT,
4 soupapes par cylindre ;
747 cm3 (67 * 53 mm) ;
73 ch à 8500 tr/mn ;
6,2 mkg à 7500 tr/mn
boîte 5 v ;
transmission secondaire par chaîne.

- Cadre : double berceau tubulaire ;
susp.AV fourche téléhydraulique, déb. 130 mm ;
susp.AR 2 amortisseurs latéraux, dèb 110 mm ;
frein AV 2 disques Ø 296 mm, étriers 2 pistons ;
frein AR 1 disque Ø 240 mm, étrier 2 pistons ;
roues AV/AR 17";
réservoir 20 L ;
poids à sec 186 kg.

Qu'importe les monstres de technologie et de puissance quand on est décidé à rouler dans le plus simple et authentique esprit de la moto... La Seven Fifty, c'est exactement l'inverse d'une R1. A la sportivité extrême teintée d''inconfort notoire, la Honda répond par une conception sommaire largement éprouvé.

    

A l'affiche, un roadster au design on ne peut plus classique, un 4 cylindres 16 soupapes refroidi par air dans un cadre double berceau tubulaire, 2 amortisseurs arrière, un phare rond et un guidon - le genre de machine qui n'a pas d'âge et qui traversera les siècles. Accessible à tous, la CB 750 est surprenante de facilité, admirable en ville et royale sur départementales. Le manque réel de protection n'incite pas à emprunter les longues voies rapides. Qu 'à cela ne tienne. La douceur du moteur entretient une conduite faisant fi de tout souci. Adieu les radars, les aiguilles bloquées ou les pneus bouffés en 3 000 bornes. On roule à moto et pis c'est tout. Les jeunes loups seront sûrement frustrés d'une machine si calme. Ce n'est pas une monster S4 ni une Buell X1 ; et on ne la choisit pas pour ça. La Honda CB 750 est une invitation à retrouver le plaisir motocycliste primaire. La mode ne lui dicte pas sa robe, pas plus que les 1'42"218 ne lui dictent sa manière d'être.

ghost_rider

un peu plus sportif Yamaha FZR 600 :

600_fzr

La lignée de la 600 FZR

Présentée au salon 1988, la FZR 600 impose la couleur dans la catégorie : sport à tous les étages. Première évolution en 1990 avec l’amélioration du freinage par adjonction d’étriers issus de la 1000 FZR. La même année, la FZR profite d’un nouveau bras oscillant et d’une jante arrière plus large (4’au lieu de 3’5) pour améliorer la stabilité. Son carénage est redessiné, affiné. Refonte totale, en 94, où tout change. Du cadre Deltabox, entièrement redessiné, au moteur (course réduite) qui gagne 10 ch (100 au lieu de 90). évolution de détail, en 95, avec l’arrivée d’une nouvelle fourche réglable (compression et détente). Enfin, en 96, la dernière évolution du modèle s’appelle Thundercat et reprend partie-cycle et mécanique de la FZR. La catégorie des 600 cc est décidément très disputée...

Les points forts

Une telle aisance sur route donne envie de voyager. La 600 FZR s’accorde merveilleusement à cet usage. Le moteur se révèle un modèle de sobriété, permettant de compter sur une autonomie correcte de 200 à 250 km. La position de conduite est idéale, conciliant confort et précision en conduite rapide. Pour ne rien gâcher, cette moto dispose de l’un des meilleurs freinage de la production. Il est idéalement adapté à la vocation de la machine. Une fois de plus, le procédé de la valve "Exup" à l’échappement fait des miracles, puisque ce 600 cc s’avère le plus coupleux et le plus rempli de la catégorie, et de loin. Il contribue lui aussi à rendre la route agréable, évitant les recours trop fréquents à la boîte de vitesses, et acceptant de reprendre dès 2500 t sur le dernier rapport.

Les points faibles

Les réglages de suspensions, tant sur la fourche que sur l’amortisseur, causent des soucis aux FZR-istes. La plupart se perdent entre les trop nombreuses possibilités de réglages et ne parviennent plus à accorder les deux trains roulants. La machine souffre alors d’une dégradation de sa tenue de route, principalement en courbe rapide où elle se met à louvoyer dangereusement. Le sort réservé au passager est tel qu’aucun homo sapiens conscient n’est volontaire pour tenter de s’asseoir à l’arrière de la FZR. Seul bagage autorisé, le sac polochon trouvera place sur cet ersatz de selle. Les rétroviseurs trop étriqués et l’éclairage faiblard en code payent aussi leur rançon au pedigree sportif de la FZR. Reste enfin qu’il est difficile de placer un U dans la roue avant ou arrière (avant 94)

encore plus sportif , un peu trop Aprilia RSV 1000!!!:

aprilia

En 1999 sort le RSV (RS+V ?) dont les dirigeant ont eu la bonne idée de faire fabriquer le moteur par des autrichiens, ROTAX, connu en aviation ULM, ainsi que chez BMW pour son 650.

La maison Aprilia s'occupa du chassis (ils savent faire ça) et demanda aux concessionnaires un effort particulier sur les retours clients, afin d'identifier rapidement les défauts de jeunesse. Résultat, dès la première saison d'endurance, les RSV terminent leurs courses sans casse, même après 24h00.

Premières impressions

"-Un peu dur ces amortisseurs quand même... faudra que je détente un chouilla pour aller chercher le pain..." N'y compter pas, d'origine, c'est réglé mou partout. Pendant les premiers kilomètres, vous aurez l'impression qu'un bombardier B12 vous colle au cul... rassurez vous, ce n'est que le bruit de votre échappement. Et cette sensation d'être poussé au cul, c'est le couple d'un bi. Le 4, ça vous aspire le pif, le 2, ça vous pousse les miches. Cherchez pas, les feeling en moto, ceux sont les hommes qui en parlent le mieux... (mesdames qui nous écoutez, on vous passe le bonjour, ... merci Michel, si tu nous écoutes....)
Un pote qui roule en Guzzi à qui j'ai prété le RSV résume bien le comportement de cette moto. "Oh, putaing, au premier rond point, ça tournait pas, j'ai faillit me mettre au tas, enculééééé". (ouaih, on vient du SUD nous).

Un deuxième pote en Africa Twin (ne rigolez pas, il emmenche bien le bougre), résumé bien le moteur "Argh, ze moteur est TOP. Au début, za pousse, après za pousse et après, za pouuuuusssse encore, ya" (il est Alsacien celui là).

L'âme d'une moto, c'est son moteur. Et le RSV, dans les tours, c'est comme un deux temps, ça en redemande encore. Vous n'aurez pas le moelleux, bien plein d'une 916, mais plus vous montez dans les tours, plus ça en demande... le rupteur vous rappelle souvent à l'ordre... Enfin, à condition de libérer le moteur, car bridé, point de salut pour ce bi.

En ville

La ville en RSV, c'est pas fait pour, enfin, à moins de vouloir craner au café. Donc on passe ;-) Le moteur est pourtant relativement souple et supporte (dans la douleur) les 2000tr/min, alors qu'avec le Falco, ça tape dans les bielles. C'est presque aussi bien qu'un TL1000

Sur route

Là c'est bon. Le RSV, c'est un très bon chassis, un bon feeling sur le train avant et arrière, à comparer au R1 de 1999 où tout semble se passer autour de la fourche.

C'est une moto qui va là où on lui demande d'aller. Et si on regarde ailleurs, elle y va aussi. Donc c'est méga nul pour mater tranquille, mais méga top pour se prendre pour un pilote.

Par contre, une fois sur sa trajectoire, faudra un certain temps pour changer d'option... à bon entendeur. Les modèles 2001 et plus sont devenus plus vif et plus faciles à prendre en main... Dommage... il n'y a plus de mérite.... :-)))

Comparo rapido

C'est moins puissant qu'un R1, mais le feeling est meilleur. C'est moins coupleux qu'une Ducati, mais çà monte mieux dans les tours. C'est moins doux qu'un TL1000 mais çà pousse d'avantage et çà freine mieux. C'est moins fiable qu'une japonaise, mais vous cela vous emmènera au-delà des 50.000km.

Sur autoroute

C'est pas fait pour : le permis n'y résistera pas. Alors, changez le pignon de sortie de boite : en enlevant une dent, vous perdrez 30km/h en pointe, mais bonjour les reprises. Et puis franchement, expliquez moi à quoi sert une moto qui fait du 280 km/h ?

Le duo

TIP-TOP. La moto est belle, c'est une sportive. Les amortisseurs travaillent bien, du coup, une passagère aimant les sportives adorera le RSV. La selle est plus épaisse que sur un R1 et ça tape moins qu'un 998. Et puis franchement, rouler en bi italien qui fait roplo-roplo-brroooaaaahhhh, ça assure plus qu'un machin qui fait wwwwooouuiinnnnnnnnnnnnnnn.:-)))
Vous pouvez monter des sacoches cavalières et hop les vacances en Espagne.

Le freinage

Brembo OR. C'est bon, c'est dit. Ca bloque moins qu'un Yamaha, le feeling est moyen, mais ça freine tout ce qu'il faut. Et brembo, c'est I-ta-lien. Donc, évidement, vous risquez de faire changer les maitres cylindre qui sont peut-être montés trop près du moteur et deviennent poreux en 15000km.
Quelques petits jeunots disent que l'arrière freine mal, mais ils oublient que l'arrière se prend déjà le frein moteur et qu'avec un gros freins arrière, il y aurait beaucoup plus de gamelles après avoir bloqué.
Ah oui, y le système PCCCC, qui évite de bloquer l'arrière au rétrogradage. Ca marche super, parce qu'on l'oublie complètement à la conduite.

Les pneus

Il faut du 120/65 à l'avant pour ne pas perdre en maniabilité. Surtout, ne pas monter du 190 à l'arrière. Sinon, vous mettez ce que vous voulez.

Globalement, le RSV est un twin (donc plus de plaisirs à basse vitesse) italien (la classe) et fiable (50000km sans soucis majeur réalisé par moto-coin-coin).
Le chassis est irréprochable, ça ne relève pas à l'accélération (et paf la sucette à Lédenon), ça durcit pas trop au freinage sur l'angle, ça part pas en weehling comme une garce (la puissance, mon bon messieur, elle passe au sol et pas en l'air...)
Il faut la travailler avec tout les appuis (pieds, genoux, fesses, bras) et elle vous emmènera où vous voulez. En plus, elle est belle, ... surtout la mienne :-)))
Z'avez qu'à voir le nombre de kakou qui achètent des RSV, ça commence à se savoir que c'est une moto à avoir dans son garage.

motos_crash

et maintenant .............................

voilà la petite derniere une triumph speed triple 955i:(déjà presentée plus haut)

face

cot__gauche

motos_lunette

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